Politique et tics ... de langage
Avez-vous remarqué comme chaque homme et femme politique ont des tics de langage, des formules toutes prêtes?
Ainsi Xavier Bertrand, ce matin sur France Inter, a du prononcer une douzaine de fois, "le vrai problème, c'est..." et , pour faire bonne mesure, " pour parler clairement". Et à chaque fois, cela répond à une question ou une remarque "déplaisante".
Jean François Copé, glissera plusieurs fois dans tout entretien, "qu'il ne parle pas la langue de bois" et que "sa parole est libre". Il a du faire une drôle de tête après avoir doctement défendu le double salaire de Proglio d'entendre celui-ci y renoncer!
Et curieusement, quand l'un ou l'autre prononce sa formule magique, on imagine son nez qui s'allonge.
Marie Georges Buffet, commence souvent ses phrases par "j'ai envie de vous dire...". Mais personne ne l'en empêche et personne ne l'y encourage. Qu'elle dise ce qu'elle pense, cela suffit.
En tout cas, des régles communes à tous les politiques, ou presque: ne jamais reconnaitre une erreur, ne jamais donner quitus d'une remarque positive à l'opposition.
La démocratie dévoyée: pas belle, à peine drôle!
Ainsi Xavier Bertrand, ce matin sur France Inter, a du prononcer une douzaine de fois, "le vrai problème, c'est..." et , pour faire bonne mesure, " pour parler clairement". Et à chaque fois, cela répond à une question ou une remarque "déplaisante".
Jean François Copé, glissera plusieurs fois dans tout entretien, "qu'il ne parle pas la langue de bois" et que "sa parole est libre". Il a du faire une drôle de tête après avoir doctement défendu le double salaire de Proglio d'entendre celui-ci y renoncer!
Et curieusement, quand l'un ou l'autre prononce sa formule magique, on imagine son nez qui s'allonge.
Marie Georges Buffet, commence souvent ses phrases par "j'ai envie de vous dire...". Mais personne ne l'en empêche et personne ne l'y encourage. Qu'elle dise ce qu'elle pense, cela suffit.
En tout cas, des régles communes à tous les politiques, ou presque: ne jamais reconnaitre une erreur, ne jamais donner quitus d'une remarque positive à l'opposition.
La démocratie dévoyée: pas belle, à peine drôle!