remaniements en tous lieux!
REMANIEMENTS APRES SUCCES OU DEBÂCLE
C’est parti, à tous les niveaux, les déçus se manifestent et les reçus se mettent en avant.
Partout, deux mots clés : ouverture, écologie
Vers un nouveau gouvernement
Quelques suggestions :
< Pourquoi ne pas redonner à Michel Rocard, déjà entré en sarkozye, le ministère de l’agriculture ? Il est peu probable que José Bové accepte le poste.
< Pour la justice, puisqu’il s’agit surtout de construire des prisons, Martin Bouygues s’impose !
< Laporte qui a fait toutes ses preuves aux sports, pourrait prendre en charge un nouveau ministère, celui des jeux (casinos, PMU, Loto, paris en ligne…), l’une de ses spécialités. Et aux sports, au choix Richard Virenque ou David Douillet
< Si Madame Lagarde voulait s’occuper des Affaires Etrangères, son poste actuel pourrait être confié à Alain Minc, qui enfin agirait sur le devant de la scène.
< Après le dernier avatar d’Hadopi, Madame Albanel pourrait se voir confier de nouvelles responsabilités ; suggérons de la remplacer par Christian Clavier, ce qui renforcerait aussi nos liens avec les corses.
Quel plaisir ce doit être pour le Président de jongler ainsi avec amis et courtisans ! Mais reste un problème épineux, il a promis un ministère à Allègre : proposons de créer et de lui confier celui du dialogue social qu’il pourrait réchauffer !
Un nouveau PS, vite !
Le changement profond ou l’agonie. Alors que vont devenir Vincent Peillon, Manuel Vals, Arnaud Montebourg, Pierre Moscovici, Benoit Hamon ?
On sait que Martine Aubry a eu la belle idée de monter un comité des sages avec les éléphants, incluant Ségolène Royal. Vous voyez Fabius, Hollande et Ségolène deviser gaiement lors d’un bon repas; heureusement que Strauss Kahn est au FMI !
6 mois quand on est en réanimation, c’est bien long !
Dans les régions aussi, ça bouge !
En Languedoc Roussillon, de plus en plus de personnalités, généralement d’anciens proches de Georges Frêche, clament, non sans raison et pour certains non sans ambition, Frêche, ça suffit.
Le PS a explosé ; pas Frèche qui en est exclu, mais au moins le premier secrétaire, Navarro.
Sans doute, il est souhaitable de changer, mais pour qui et avec quel projet politique et régional : avec pour seul mot d’ordre « Battre Frèche », les « rebelles » ont fort peu de chances de réussir !
Maintenant si autour des verts, du PS, du front de gauche et du modem « progressiste », se constitue un mouvement cohérent, rajeuni, ouvert, qui dessine un projet ambitieux et créatif pour la Région, alors tout peut arriver !
Bref, en France, à Paris, comme au bord de la Méditerranée, on ne va pas s’ennuyer dans les prochaines semaines !
PF
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